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RENTABILITE Valoriser son capital fourrage par une meilleure conservation des ensilages

Chaque année, en récoltant leurs ensilages, les éleveurs mettent sous bâche des milliers d’euros. En moyenne, 15 % se volatilisent en pure perte avec de mauvaises conditions de conservation… Sanders, expert de la nutrition, œuvre auprès des éleveurs pour tirer le meilleur parti des fourrages conservés.

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La question de l’utilisation des valorisateurs d’ensilage fait débat depuis longtemps… sauf chez ceux qui les utilisent. Bien conserver son ensilage, c’est valoriser son capital fourrager, la production de son troupeau et son temps de travail. Difficile de trouver un éleveur qui reviendrait en arrière après avoir utilisé des valorisateurs d’ensilage. Au Gaec du Bout du Monde (79), les valorisateurs de fourrages sont utilisés sur l’ensemble des ensilages destinés au troupeau de chèvres et aux Parthenaises. « Notre objectif est de maintenir les meilleures valeurs alimentaires possibles des fourrages ». En quatre ans, le Gaec a réduit de moitié ses achats de correcteurs azotés pour le troupeau allaitant, et a amélioré son organisation du travail en espaçant la distribution d’ensilage aux jeunes bovins.

 

Dans le silo, les pertes physiques ne sont que la partie émergée de l’iceberg (représentent autour de 5%). La perte de valeurs nutritionnelles peut, elle, représenter jusqu’à 15% du potentiel initial. A l’auge, le fourrage mal conservé est aussi moins appétent et les protéines, dégradées sous forme soluble, sont moins assimilables.

 

Les valorisateurs de fourrages Sanders apportent, grâce à l’action naturelle des bactéries, une acidification rapide de la masse fourragère : la baisse du pH, s’opérant dans les premières heures de fermeture du silo, bloque les mauvaises fermentations, responsables des pertes et de la reprise d’échauffement du silo au front d’attaque ou à l’auge. Les équipes techniques de Sanders ont chiffré l’économie à 22€ en moyenne par tonne de MS d’ensilage de maïs, soit un retour sur investissement de deux à trois euros pour un euro investi.

 

Les associés du Gaec du Bout du Monde parlent d’un « investissement rentable », avec une augmentation de l’autonomie alimentaire et des gains de productivité, illustrés notamment par le GMQ des veaux.

 

Maîtriser les achats de concentrés

 

Thibaut Teyssedre (47)

 

Pour les frères Teyssedre, éleveurs de 800 chèvres en Lot-et-Garonne, le valorisateur d’ensilage est incontournable pour « proposer un ensilage de maïs riche et réduire les achats de concentrés ». Très sensible à la variabilité qualitative des fourrages, l’espèce caprine est aussi particulièrement exposée aux risques sanitaires. Pour maintenir un front d’attaque stable et un fourrage frais à l’auge, les éleveurs utilisent un valorisateur d’ensilage, conseillé par leur technicien Sanders. Le résultat est visible sur la production laitière des animaux. Mettant l’accent sur les bonnes conditions de récolte et de confection de silo, les éleveurs considèrent que le valorisateur « s’intègre à une démarche globale » de qualité des fourrages.

 

Retrouvez les retours d’expérience de ces éleveurs en vidéo

 

Pour en savoir plus sur les valorisateurs de fourrage ou prendre contact pour programmer un diagnostic personnalisé auprès de Sanders : 09-69-32-95-27.

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